Papandréou empêche les  médias, le pouvoir politique, les marchés financiers de pressuriser en rond le peuple grec. Il suffit que le premier ministre grec décide de consulter par référendum les habitants de son pays –  libre et démocratique –  pour déclencher la huée des tenants du pouvoir européen.  En France, la droite juge « irrationnelle, dangereuse, irresponsable… » une telle décision. [...]
Écrit le 2 novembre 2011 par michel.pageperso